ARTICLE 1 :
Afin d’être autorisé à participer à une compétition organisée par l’AFBBN, tout athlète devra :
ARTICLE 2 :
En cas de doute sur la sincérité du compétiteur en matière de lutte contre le dopage, celui-ci ne pourra être autorisé à concourir que s’il accepte de subir, à sa charge, un contrôle anti-dopage.
Un chèque de 300 €, lui sera donc demandé avant la compétition :
Pour protéger le droit fondamental des sportifs de participer à des activités sportives exemptes de dopage.
Pour promouvoir la santé, l’équité et l’égalité des sportifs.
Pour préserver l’intégrité du sport et des compétitions par le respect des règles et des concurrents
Chaque année, l’Agence mondiale antidopage définit une liste des substances et méthodes interdites. Vous trouverez ici le lien vers le site de l’ADA : Listes des produits interdits en matière de dopage
Ils ne sont pas interdits dans le sport, et ne se trouvent pas sur la Liste des substances interdites de l’Agence mondiale antidopage. Toutefois, il faut faire preuve d’une extrême vigilance lorsqu’il s’agit de prise de compléments alimentaires, car ils présentent des risques pour la santé et des risques de dopage.
Certains compléments alimentaires contiennent des substances interdites mentionnées dans la liste des ingrédients figurant sur l’étiquette ou l’emballage, qu’il appartient au sportif de consulter.
En outre, l’industrie des compléments alimentaires n’étant pas régulée, les produits pourraient contenir des substances interdites qui ne sont pas indiquées sur l’étiquette ou l’emballage.
La prise de compléments peut donc conduire à un résultat positif à la suite d’un contrôle antidopage, entraînant ainsi une violation des règles antidopage et éventuellement une sanction.La contamination de compléments alimentaires peut être volontaire ou accidentelle (produits contaminés pendant le processus de remplissage).